Sacrifier le superflu

« Ce que les gens doivent sacrifier, c’est leur souffrance : rien n’est plus difficile à sacrifier. Un homme renoncera à n’importe quel plaisir plutôt qu’à sa propre souffrance. L’homme est ainsi fait qu’il y tient plus qu’à tout. Et pourtant il est indispensable d’être libre de la souffrance. Quiconque n’en est pas libre, quiconque n’a pas sacrifié sa souffrance, ne peut pas travailler. » Ouspensky, Fragments d’un Enseignement inconnu.
Il s’agit ici de sacrifier les souffrances inutiles (superflues).